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Pendant, 500-600, made in Niederbreisig, Frankish, Copper alloy (rings & cap), glass beads;
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Copper alloy pseudo-penannular brooch; 10th-11th c; Ala, Gotland, Sweden flat hexagonal section; cast opposed animal heads at centre of hoop; ring-and-dot, ribbed, punched and incised linear decoration; terminals cast as two profiled backward-biting animal heads.
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Archaeologists Return to Investigate Viking Period Site in Gotland Dated to the 9th century AD, the hoard boasted a pure silver assemblage of more than 14,200 coins and nearly 500 silver arm rings and other objects, placed in wooden boxes beneath the floor of a Viking Age house structure.
Gotland est une île de la Suède située en mer Baltique.
Elle est la plus grande île du pays ainsi que du comté et de la commune du même nom
Just a fantastic picture of a silver hoard from Gotland
GOTLAND
L’île de Gotland, dans la mer Baltique, est au sud de Stockholm. Sur 170 km de long et 50 km de large, elle étale ses beaux paysages plats et fleuris où se promènent des moutons.
L’île est prisée des touristes nordiques, la meilleure façon de la découvrir reste le vélo.
Gotland est aussi une mine d’or pour les archéologues, car elle a une longue histoire derrière elle.
Elle est la plus grande île du pays ainsi que du comté et de la commune du même nom
On the 16 July 1999, the worlds largest Viking silver treasure, the Spillings treasure, was found in a field at Spillings northwest of Slite.
The silver treasure was divided into two parts weighing a total of 67 kg (27 and 40 kg) and consisted mostly of coins, about 14,000, from foreign countries, mostly Islamic.
It also contained about 20 kg of bronze objects along with numerous everyday objects such as nails, glass beads, parts of tools, pottery, iron bands and clasps. The treasure was found by using a metal detector, and the finders fee, given to the farmer who owned the land, was over 2 million crowns (about US$308,000).
The treasure was found almost by accident while filming a news report
for TV4 (Sweden) about illegal treasure hunting on Gotland
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La « carte du Vinland » est une mappemonde qui représenterait le monde connu en incluant des terres présumées inconnues au XVe siècle, notamment le Groenland, le Japon et une île, le Vinland, dénommée Vinlanda Insula et rappelant les contours approximatifs de l'Amérique du Nord.
L’authenticité de cette carte conservée à l'université Yale est controversée. Elle est considérée par certains comme un OOPArt.
La carte, conservée à la Bibliothèque Beinecke de Yale, daterait du XVe siècle et serait la copie d'un original du XIIIe siècle. Son importance résiderait dans le fait que, outre la présence de l'Europe, de l'Asie et de l'Afrique, elle montre une portion de terre au-delà de l'Atlantique Nord, appelé Vinland, qui confirmerait le fait que les Européens auraient eu connaissance des voyages des Vikings au XIe siècle, anticipant de quatre siècles la découverte du Nouveau Monde par Christophe Colomb (1492).
La carte indique un certain nombre d'îles fantômes, notamment une île nommée Beati Brandani (la légendaire île de Saint-Brendan) et une île nommée Branziliae rappelant étrangement le mot Brésil, mais déjà représentée sur d'autres cartes marines sous le nom d'Île de Brasil.
Une île située à l'ouest, dénommée Vinlanda Insula, représente à la fois les contours d'un large estuaire qui rappelle celui du golfe du Saint-Laurent et au nord, une grand lac accessible par une voie d'eau qui donne une représentation approximative de la baie d'Hudson et du détroit d'Hudson.
Découverte
La carte fut proposée en 1957 (trois ans avant la découverte du site de l'Anse aux Meadows) à l’université Yale par Laurence C. Witten II, ancien élève devenu antiquaire spécialisé en livres anciens. Elle était fixée à un authentique codex, Historia Tartarorum (Histoire des Mongols appelés par nous Tartares), version ancienne du texte du franciscain Jean de Plan Carpin, lui-même autrefois relié en appendice au Speculum historiale de Vincent de Beauvais[2].
Le prix étant trop élevé et Witten refusant de révéler sa provenance, l’université hésita. Un autre élève, Paul Mellon, l’acheta, se proposant de l’offrir à son alma mater si elle se révélait authentique.
Il la fit expertiser par deux conservateurs du British Museum et un bibliothécaire de Yale, mais en secret, procédure controversée[3]. Ils aboutirent après plusieurs années à la conclusion de son authenticité. La carte fut offerte à Yale et révélée au monde en 1965, accompagnée d’une publication de l’équipe de recherche]. Une conférence sur la question eut lieu l’année suivante à la Smithsonian Institution, dont le compte rendu fut publié cinq ans plus tard].
Yale émit en 1995 une publication affirmant l’authenticité de la carte.
Question de l’authenticité
L’authenticité du document est un sujet de débats permanents. Le contenu, l’encre et le papier ont fait l’objet de recherches de plus en plus poussées au fur et à mesure des avancées techniques.
Comme la controverse a fait rage autour de la carte presque depuis son acquisition par l'université Yale, les autorités de cette université ont choisi de ne pas commenter l'authenticité de ce document sur parchemin.
Néanmoins les autorités universitaires suivent le débat avec un intérêt inhabituel. « Nous nous considérons comme les gardiens d'un document extrêmement intéressant et controversé », a déclaré la bibliothécaire de Yale, Alice Prochaska, en 2002, « et nous lisons avec attention le travail d'érudition sur cette carte avec un grand intérêt ».
Contenu
La première équipe qui examina le document remarqua la ressemblance avec une carte des années 1430 due au navigateur italien Andrea Bianco ; l’Afrique est coupée là où la carte de Bianco était pliée. Elle en diffère aux confins est et ouest, en particulier dans le cas du Groenland qui est représenté comme une île, fait pourtant ignoré des géographes scandinaves de l’époque.
Leif Eriksson est appelé Erissonius, ce qui ne devient la norme qu’au XVIIe siècle et supposerait une transmission italienne ou française. La graphie æ, qui apparaît plusieurs fois, était hors d’usage à l’époque où la carte est censée avoir été produite, hormis quelques textes italiens transcrits délibérément à l’antique, et n'est jamais utilisée en écriture gothique qui est celle du document.
L’évêque Eirik est mentionné en latin « du Groenland et des régions voisines » (regionumque finitimarum). Or, cette expression avait déjà attiré plusieurs années avant la découverte de la carte l’attention du chercheur allemand Richard Hennig : on ne la trouvait que dans les ouvrages du franciscain Luka Jelic (1863–1922), et Henning voulait savoir de quelle source il la tenait.
Il pensait avoir prouvé qu’elle venait de sources françaises citées par Jelic dans sa première édition (en français). « Évêque régionnaire des contrées américaines » aurait été retraduit en latin dans les éditions ultérieures.
Il ne s’agirait donc pas d’un titre ancien de l’évêque de Groenland et sa présence sur la carte permet de soupçonner une fraude s’inspirant de Jelic, qui fut lui-même un moment mentionné comme l’auteur possible de la carte. Kirsten Deaver proposa pour sa part le jésuite allemand Josef Fischer (1858-1944).
Le paléographe et bibliothécaire P. Saenger a aussi émis plusieurs doutes sur l’authenticité de la carte et la validité de la seconde édition du livre de Yale, The Vinland Map and Tartar Relation
Encre
Le tracé est constitué de la superposition de deux lignes, une noire presque effacée au-dessus d’une jaunâtre.
En 1967, les chercheurs du British Museum remarquent la nature inhabituelle de l’encre pour un manuscrit. En 1974, l’expert légal Walter McCrone détecte la présence de dioxyde de titane, substance que la chimie ne sait produire que depuis le début des années 1920
Ce composé étant utilisé pour les couleurs pâles, sa présence indique que la ligne jaune ne résulte pas du vieillissement d’une encre ancienne mais d'une fraude. Une analyse de juillet 1985 réalisée par Thomas Cahill et al. à l’université de Californie à Davis (technique PIXE), montre que le dioxyde de titane n’est présent qu’à l’état de traces (< 0,0062 % en poids) et résulte peut-être d’une contamination[13] ;
McCrone prouve en 1991 par spectroscopie Fourier que le dioxyde est présent dans l’ensemble de l’encre et identifie par la même occasion le liant comme étant de la gélatine provenant probablement de peaux animales[14]. En juillet 2002, la présence de quantités non négligeables de dioxyde de titane est confirmée. Le pigment noir restant sur la carte est identifié comme étant du carbone et non du fer par diffusion Raman
réalisée à l’University College de Londres.
Or c’est l’encre au fer, commune dans les manuscrits médiévaux et utilisée pour l’Historia Tartarorum, qui jaunit en vieillissant. Néanmoins, Jacqueline Olin, chercheuse retraitée de la Smithsonian Institution, publie en 2003 le résultat d’expériences qui pourraient expliquer qu’on obtienne ce résultat à partir d’une encre médiévale[16]. Son hypothèse est contestée par K.M. Towe en 2004.
Parchemin
En 1995, des chercheurs de l’université d'Arizona et de la Smithsonian Institution se rendirent à l'université Yale pour dater ce parchemin par carbone 14 avec spectromètre de masse à accélérateur. Le résultat donna une date assez précise de 1434 avec plus ou moins 11 années, soit entre 1423 et 1445, mais cette date n'est valable que pour le parchemin.
Un pli prévu par le dessinateur - puisqu’il n’y avait placé aucune information importante - situé à l’endroit où la carte est reliée à l’Historia Tartarorum, s’est avéré cacher une division en deux feuilles. Si le parchemin est effectivement ancien, il pourrait s’agir de deux feuilles vides du Speculum Historiae utilisées par un fraudeur[3].
L’équipe de recherche qui a travaillé pour la seconde édition du livre de Yale a envisagé que ce pli pouvait être responsable d’erreurs d’analyses dues aux éléments externes qu’il aurait pu emprisonner.
Elle y a en effet trouvé des particules n’appartenant pas au parchemin et soupçonne que le chrome détecté par l’analyse de McCrone en 1988 serait le résultat d'une contamination.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Carte_du_Vinland
Zoom sur la carte du Vinland, une mappemonde représentant le monde supposé au XVe siècle. Sur ce document se trouvent le Groenland et une autre île, le Vinland, évoquant les contours approximatifs de l'Amérique du Nord.
Cette découverte renforce l'hypothèse que les Européens auraient eu connaissance des voyages des Vikings au XIe siècle, soit quatre siècles avant la découverte du Nouveau Monde par Christophe Colomb en 1492. Mais l'authenticité de cette carte conservée au sein de l'université de Yale est contestée.
Grâce à des moyens techniques poussés, des analyses du contenu, de l'encre et du papier ont été effectuées. Plusieurs théories s'affrontent.
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Le style de Jelling (à droite) inclut beaucoup plus de complexité mais reste très proche dans le fond : toujours des entrelacs animaliers.
Les styles suivants (Mammen, Ringerike et Urnes) sont identiques au style Jelling, à ceci près que les thématiques sont différentes. Plus végétales (Mammen), pleine de serpent (Ringerike.) Le style Urnes marque la fin de l’Art Viking en tant que tel pour se muer en art néo-chrétien, par des mélanges faunes/flores complexes.
Ensuite, à partir du 12e siècle, on ne peut plus vraiment parler d’Art Viking mais d’Art Européen.
L’Europe étant devenue intégralement chrétienne il est logique que ce qui représentait le passé artistique païen du monde Viking s’estompe. La mondialisation version médiévale !- See more at: http://www.mjollnir.info/category/histoire-viking/#sthash.xogGbOCM.dpuf
Le style de Borre (à gauche) est la suite chronologique d’Oseberg. Il s’agit du courant le plus pur en terme d’influence extérieure puisqu’il semble être à 99% Viking
(le 1% restant étant un brin Carolingien.)
Et pourtant je le trouve moins représentatif du style Viking que les gravures d’Oseberg (ça n’engage que moi. Sans doute parce qu’il est pas 100% scandinave ?)
Toujours des animaux, des rubans / maillons de chaîne, mais on note l’introduction de motifs géométriques.
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Chez les Vikings, tout n’était pas qu’armement, navires et boucliers. Les ornements, l’Art même ! étaient très répandus.
Un art caractéristique, celui des entrelacs, qui s’est répandu très vite dans toute l’Europe du Nord !
(Les Vikings étant un tantinet voyageurs !)
Depuis le 7e siècle jusqu’au 12e siècle, ces entrelacs Vikings furent créés et diffusés un peu partout et sous de nombreuses formes : sculptures de figures de proue, décorations guerrières, gravures sur pierres, stèles…
Les entrelacs Vikings tissaient des motifs animaliers la plupart du temps.
L’Art Viking était en premier lieu à destination des seigneurs passés de vie à trépas, qui étaient ensevelis dans des navires somptueusement décorés.
Et petit à petit il envahit tous les domaines (militaires notamment) et se mit à représenter plus que des animaux. Mais là, on est au-delà du 12e siècle, art chrétien, donc je n’en parlerai pas, ce ne sont plus les mêmes courants !
L’Art Viking atteint son apogée à Oseberg au 9e siècle (la photo à gauche), avec des motifs caractéristiques de l’Art Viking.
Il ne s’agit pas réellement d’un courant artistique Viking, mais plutôt le témoignage de l’aboutissement de 2 siècles d’orfevrerie suédoise.Des motifs particulièrement mythologique puisqu’on y voyait souvent représenté des figures du Forn Sidr (ancienne coutume, le « nom » de la religion scandinave), mais aussi toutes sortes d’animaux du quotidien : chevaux, cygnes, dragons… (Oui, du quotidien.)
Après cette période, l’Art Viking n’est plus exclusivement scandinave, mais issu de toute l’Europe du Nord. Logique étant donné l’expansion Viking. On retrouvera notamment une influence irlandaise très forte.
Suivent chronologiquement deux courants assez proches : Borre et Jelling.
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http://www.mjollnir.info/category/histoire-viking/
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Les portraits du Fayoum sont une série de plus de 1 000 portraits trouvés à partir de 1888 par Flinders Petrie, puis par d'autres archéologues, principalement dans le gouvernorat du Fayoum en Égypte.
Ils datent des premiers siècles de notre ère (Ier au IVe siècle), et constituent des représentations visuelles des populations passant par cette région à cette époque.
Les portraits du Fayoum sont les seuls spécimens de peinture de chevalet que l'Antiquité nous a légués.
Ce sont les portraits les plus anciens jamais découverts.
Ils éclairent les mutations profondes qui s'opèrent au IIe siècle dans l'empire romain.
Les arts locaux, appartenant à une veine populaire, acquièrent une importance croissante, d'une part par l'épuisement des traditions artistiques dans les ateliers métropolitains, d'autre part par le relâchement de l'autorité de l'Urbs sur les possessions lointaines.
C'est ainsi que l'orientalisme, longtemps étouffé par la plastique occidentale, prend son essor : il apparaît en effet plus apte à exprimer les inquiétudes d'un monde où bascule, avec l'Empire romain, tout un système économique et social.
Le culte, dès le début de la Rome impériale, de dieux orientaux (Isis, Mithra …), illustre la fascination des Romains des premiers siècles de notre ère pour des religions dans lesquelles la mort n'apparaît plus comme l'achèvement du parcours de l'âme.
L'irruption des techniques picturales et des rites romains dans le cérémonial funéraire égyptien illustre autant l'influence romaine en Égypte que l'engouement du monde romain pour les croyances orientales.
Ces portraits représentent l'ultime évolution des sarcophages et masques funéraires, avec une influence évidente de l'art romain, et permettent ainsi de retracer l'évolution des techniques picturales d'époques ptolémaïques et romaines et renseignent sur les modes vestimentaires et sur les usages de cette période.
La grande expressivité de ces portraits annonce sans doute l'art copte et n'est pas sans parenté avec ce que sera l'icône byzantine.
L'arrivée du christianisme en Égypte, puis dans toute l'Afrique du Nord, marque la fin de cet art héritier des traditions séculaires de l'Égypte ancienne et du culte des morts.
Technique
Les portraits du Fayoum étaient peints du vivant du modèle. Placés en correspondance avec la tête du mort, ils étaient glissés dans l'appareil de bandelettes ou plus rarement posés à côté de la momie.
Ils étaient réalisés généralement à l'encaustique, mais moins souvent à tempera sur une planchette de bois (tilleul importé, figuier, cèdre, ou sycomore).
Le peintre en plus de l'or, n'utilisait que quatre couleurs ; le noir, le rouge et deux ocres[ la peinture naturelle mélangée à chaud à de la cire d'abeille, avec de l'huile de lin ou de l'œuf. Le mélange ainsi obtenu était appliqué à de la toile de lin ou du bois. Les larges surfaces (fond et vêtements) étaient traitées à la brosse, et le visage était achevé à la spatule.
Localisation
Les principales collections publiques de portraits du Fayoum sont exposées dans divers musées de Londres, Berlin, Moscou, New York ainsi qu'en France :
- au musée du Louvre, à Paris, des portraits du Fayoum sont présentés dans le cadre du département des Antiquités Égyptiennes, dans les salles de l'Égypte romaine, dans l'aile Sully ;
- au musée des Beaux-Arts de Lille portrait de militaire ;
- au musée des Beaux-Arts de Dijon ;
- au musée d'Art sacré du Gard à Pont-Saint-Esprit qui présente également un portrait d'homme provenant du Fayoum.
The portraits were attached to burial mummies at the face, from which almost all have now been detached. They usually depict a single person, showing the head, or head and upper chest, viewed frontally. The background is always monochrome, sometimes with decorative elements. In terms of artistic tradition, the images clearly derive more from Graeco-Roman traditions than Egyptian ones.
wikipedia
-Fayum portraits perfectly represent Greek settlers and Romans who intermarried with
local Egyptians (Africans).
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Reportage : Les Vikings - Comment ils vivaient
En l'an 750 de l'ère chrétienne, la société viking vivait de l'agriculture et de l'élevage. La plupart des grandes fermes comportait un chantier naval. L'histoire des Vikings est ainsi indissociable de leurs vaisseaux, qui ont marqué la science navale.
Les conquérants nordiques ont conçu des bateaux qui ont bouleversé à jamais la navigation, leur permettant à la fois de mettre les voiles vers l'ouest et de remonter les fleuves vers l'est. Les historiens ont établi que les Vikings avaient atteint le Groenland et l'Islande ; de là, ils pourraient avoir rallié Terre-Neuve, voir même le Mexique.
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Vikings, saison 1, aura sans nul doute réussi à trouver son public dès sa première diffusion.
Le fait de traiter un sujet inhabituel nous plonge directement dans l’histoire. melty.fr vous en dit plus.
Diffusée pour la première fois le 3 mars 2013 sur la chaine History aux Etats-Unis et au Canada, la série Vikings a réalisé des cartons d’audience tout au long de sa diffusion. Aux Etats-Unis, le premier épisode a réuni un peu plus de 6 millions de téléspectateurs, battant même la série The Mentalist sur la cible 18-49 ans. La première saison a rassemblé, en moyenne, 4,3 millions de téléspectateurs. Forte de son succès américain et de bonnes critiques reçues, la série Vikings est rachetée par Canal+, qui diffuse le premier épisode le 10 juin, dernier, à 20h50.
Les aventures de Ragnar Logthbrok, le personnage principal, ont attiré plus d’un million de téléspectateurs, soit 19,5 % des abonnés de la chaîne. Un succès confirmé la semaine d’après avec la diffusion des 2 épisodes suivants. La saison 1 s’est achevée le 1er juillet dernier.
La série raconte l’histoire d’un groupe de Vikings, mené par Ragnar Lothbrok, célèbre héros viking. Ensemble, à l’encontre de leur roi, Haraldson, lassés d’aller à l’Est pour piller des terres qu’il juge trop pauvres, ils vont tenter d’aller découvrir l’Est, par la mer, pour semer la terreur et y piller tout ce qu’ils peuvent trouver. Là-bas, de nombreux monastères abritent des trésors qui ne sont défendus que par de simples hommes d’église. On peut aussi suivre Rollo, le frère de Ragnar, jaloux de son frère, Athlestan, un moine ramené par Ragnar lors d’un pillage, dont sa croyance est totalement opposée à celle des vikings et d'autres personnages. Une aventure exceptionnelle qui nous fait découvrir un sujet peu traité dans les séries.
Après avoir vu Vikings pour la première fois, ce qui attire l’attention est sûrement la ressemblance avec l’énorme série de HBO, Game of Thrones. Vikings reprend quelques caractéristiques comme le sang, mais elle se démarque sur d’autres points comme le parallèle historique qui reprend des faits réels. Le héros principal, Ragnar Lothbrok a vraiment existé. Le fait de donner une importance aux personnages secondaires permet aussi de s’attacher plus facilement à eux et qui donne du rythme à la série. On découvre, entre autre, Lagertha, la femme de Ragnar, qui ne se contente pas de rester à la maison, mais qui suit son mari lors des attaques de village. On suit aussi l’évolution de Bjorn, le fils de Ragnar, qui veut devenir un viking comme son père, mais qui doit passer les différentes étapes pour arriver au statut qu’il espère.
Vikings se différencie aussi grâce à la maîtrise de l’art de la suggestion. Ne vous attendez donc pas à voir, explicitement, des scènes violentes. Par exemple, dans l’avant dernier épisode de la saison, des vikings se font égorger en l’honneur des dieux, mais directement devant nous. Cela fait donc travailler notre imagination pour savoir exactement ce qui se passe. On retrouve, aussi, d’autres scènes avec la même idée. La série nous fait également découvrir les magnifiques paysages de Scandinavie, où l’on se retrouve dans univers sauvage et naturel. En résumé, Vikings, la série qui a cartonné, est apparu comme une série différente des autres et qui a réussi à nous captiver par son originalité.
Les intrigues à la fin de la saison 1 réservent donc une saison 2 explosive.
http://www.melty.fr/#!vikings-saison-1-notre-bilan-complet-a194361.html
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Les Vikings: brutes ou défenseurs d'un peuple envahi..?
Plusieurs textes grecs ou romains classiques décrivent les Vikings, ces Germains du Nord, comme étant des brutes sanguinaires pillant tout sur leur passage.
Mais rien n'est moins vrai...
C'est peu avant l'an 800 de notre ère qu'a débuté la période de la Révolte Viking qui consistait en une série de représailles des Vikings contre les envahisseurs qui s'étaient emparés de leur territoire et de leurs vies, à force d'armes et Croisades.
La rage au coeur, les Vikings se sont insurgés contre le massacre de Verden: où en 782 l'Empereur Charlemagne rassembla 4,500 guerriers, dignitaires, prêtres et nobles païens et leur donna ce choix: baptême chrétien ou décapitation (donc 4,500 morts le même jour dans un bain de sang); et la déportation forcée en l'an 783 de 30,000 Saxons en Savoie.
Cette révolte, on ne peut plus légitime, faisait suite aux excès des troupes de Charlemagne couvrant la guerre impitoyable de l'Église contre les Celtes et les Saxons à Verden, et contre tous les “Païens du Nord”.Pour imposer la chrétienté et en même temps, pour interdire la “culture et la religion païenne”.
Alors pendant deux siècles les Vikings, peuple germanique pourtant pacifique, ont déferlé sur l'Europe pour venger leurs frères massacrés. Ils ont fait payer aux églises, abbayes et cités occidentales, l'abominable crime de Charlemagne.http://www.unicorne.com/abc/runomancie/alphabet.php
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